Le jury du
20e Prix littéraire Napoléon III 2013,
présidé
par Jean des Cars, couronne deux ouvrages ex-aequo
mettant
en avant des aspects peu connus du Second Empire
Après délibération du jury 2013, présidé par Jean des Cars, la vingtième édition du Prix littéraire
Napoléon III, organisée par la ville de Rueil-Malmaison, en partenariat
avec l’Association historique Les Amis de
Napoléon III a été décerné, à deux ouvrages ex-aequo :
Le gouvernement impérial et la
guerre de Sécession (1861-1865), L’action diplomatique
de
Stève Sainlaude (Ed. L’Harmattan, 2011),
Stève Sainlaude (Ed. L’Harmattan, 2011),
La France du Second Empire,
Napoléon III le provincial d’Alain Carteret (Ed.
Soteca, 2012).
Remise du Prix
Napoléon III : samedi 30 novembre à Rueil-Malmaison
Le Prix Napoléon III 2013 a été remis samedi 30 novembre à la Médiathèque Jacques Baumel, dans le cadre
de la deuxième édition du Colloque Rueil Ville Impériale qui, sous la direction
de Jacques-Olivier Bourdon, Président de l’Institut Napoléon, avait pour thème
« Napoléon Ier, Napoléon III,
bâtisseurs ».
La délibération du
jury présidé par Jean des Cars
Le
Jury, présidé par Jean des Cars
était composé de Gilbert Ameil, président de l’Association historique Les Amis de Napoléon III ; Florence Austin-Montenay, historienne ; Jacques-Olivier Bourdon, Président de l'Institut Napoléon ; Bernard Chevallier, Conservateur
Général honoraire du patrimoine ; Abel Douay, historien ; Dominique
de Font-Réaulx, Conservateur en chef au Musée du Louvre, directrice du
musée Delacroix, chargée de mission auprès d’Henri Loyrette, en charge de la
coordination scientifique du projet du Louvre Abou Dabi ; Adrien Goetz, Maître de conférences à la Sorbonne ; David Chanteranne, Rédacteur en Chef de la revue Napoléon III et Georges Poisson, Conservateur général du patrimoine.
Jean des Cars déclare : « Ces deux ouvrages sont des travaux de grande qualité qui mettent chacun
en avant un aspect peu connu du Second Empire. Ce sont des visions fidèles et
intéressantes du règne de Napoléon III : l’un, brossant le portrait d’une
France vue de l’intérieur et l’autre, donnant
une vision du pays à travers ses relations
extérieures » et ajoute « il aurait été injuste de ne pas récompenser
ces deux ouvrages qui correspondaient aux critères tout en étant de natures
foncièrement différentes : l’un plus universitaire ; l’autre, plus
grand public. ».
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